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Clôture de ICT Maghreb : Prémices d’une République algérienne numérique souveraine ?

Salons-Prendre en compte le manque à gagner en termes de croissance économique, d’optimisation et de gouvernance globale, les coûts et les process de réalisation. 

Mettre en place des politiques d’appui et de soutien aux entreprises qui activent dans le secteur du numérique, dans l’aspect valorisation du potentiel que recèle le secteur économique.

Faire en sorte pour que l’Autorité gouvernementale de certification électronique (AGCE) délivre des certifications aux acteurs privés et les multinationales activant en Algérie, et pas seulement au secteur public.

Plus de débit Internet et de qualité de service, et une qualité de réseau accompagnant la feuille de route du Cloud.

Dématérialiser et mettre le focus sur le cœur du métier, devront être le cheval de bataille des entreprises, qui doivent aussi réactualiser la connaissance de leurs ressources humaines en développement technologique.

Revoir le dossier de la cybersécurité, virtualisation de l’investissement chez les start-up, sensibiliser sur la cybersécurité, réflexion globale sur le cloud public souverain, établir passerelles cruciale entre formateurs numérique et les entreprises, favoriser la sédentarisation des compétences nationales tout en acceptant la mobilisation de ces dernières.

Telles sont les recommandations sur une cinquantaine proposés par les panélistes et lues par Ahmed Lahri, responsable de Prolinkom Consulting et Impression, lors de la cérémonie de clôture de ICT Maghreb 2021, en présence du ministre des Postes et des Télécommunications, Brahim Boumzar, et le Président-directeur général d’Algérie Télécom, Hocine Helouane.

Les recommandations s’inscrivent dans l’optique de l’avènement d’un environnement technologique, financier, réglementaire et législatif propice pour le développement numérique en Algérie.

Parmi d’autres recommandations, Ahmed Lahri a cité : Donner ses chances à la fintech (technologie financière), notamment comme moyen complémentaire inclusif bancaire et de lutte contre l’informel ; sensibiliser les journalistes à vérifier leurs sources et reproduire une information éthique et de qualité, et basculer vers la smart factory pour les entreprises algériennes.

Enfin, favoriser l’avènement d’une République algérienne numérique et souveraine, en dynamisant tous les secteurs technologique, financier, réglementaire et législatif.

Les autres recommandations seront pondues dans un document en trois langues, arabe, français et anglais, et transmis aux autorités compétentes, afin de les examiner et y répondre.

Pour sa part, Brahim Boumzar a promis de déposer ce document au gouvernement.

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