Poésie-Tombée de rideau, aujourd’hui 10 juillet, sur l’atelier de formation ‘’Maouazine el Ibdaa’’, qu’organise bi-mensuellement l’association de wilaya ‘’Beit Echiir’’, à la Maison de la culture Mohamed-Serradj Skikda.
« Nous avons mis fin à cet atelier à la 3ème session, en raison de la cessation des activités au niveau de la Maison de la culture Mohamed-Serradj. Nous reprendrons en octobre, lors de la rentrée sociale, espérant atteindre les 6 sessions et se permettre la constitution d’une bonne équipe de poètes rompus aux techniques de la rédaction des poèmes et de la prose. », selon les dires du président de l’association ‘’Beit Echiiir’’, Khodir Maghchouche, journaliste et poète également.
Les objectifs de Khodir Maghcouche ne s’arrêtent pas là. En réponse à notre demande de faire des ateliers au profit des poètes d’expression française et même anglaise, il a déclaré : « Oui je voudrais bien le faire, mais mes capacités financières m’en empêchent, car je dois payer les formateurs. Mais, en revanche, la Maison de la culture Mohammed-Serradj, dispose de moyens pour lancer beaucoup de sessions dans ce cadre. Nous aimerions bien qu’elle nous accompagne dans cette démarche.»
Amel Balaska, 1ère année littérature à l’université 20-Aout-1955 Skikda, a indiqué « Ma passion pour l’écriture, littéraire, poétique et autres, a enfin trouvé une tribune pour se former davantage. Cet atelier m’est tombé du ciel. J’en ai découvert par hasard l’annonce sur Facebook. Et en plus c’est gratuit. Je tiens ici à relever le mérite de Khodir Maghchouche, il se donne à fond pour nous inculquer les techniques liés au monde de la poésie. Nous n’en trouverons pas meilleur, même souvent à titre payant. »
Pour sa part, Fayçal Boucharbat, gérant de Bureau d’études (Bet), a souligné que « cet atelier permet un juste équilibre entre mon métier technique et la littérature (rires, ndlr). Car ma passion pour l’écriture a ainsi trouvé un espace pour se perfectionner, que ce soit pour des objectifs d’éditer un livre et/ou un recueil de poésie, ou simplement pour s’adonner à la rédaction poétique. L’essentiel est que nous ayons une bonne base. »