Algérie-Rayene Deffous, 22 ans, est une jeune créatrice de mode. Une styliste n’ayant meme atteint le quart de siècle d’existence. Une Fashion Designer, pour faire plus tendance.
C’est une jeune ambitieuse voulant développer la haute couture dans la wilaya de Skikda. Mais pas seulement. « J’ambitionne de m’imposer à l’échelle nationale, et même outre-mer. »
A révélé Rayene Deffous, lors d’un entretien qu’elle nous a accordé au cours d’une exposition tenue récemment dans la wilaya de Skikda.
Ajoutant : « C’est ma passion née de mon amour pour le dessin, que j’ai mis au service de la couture. D’ailleurs, à ce jour, je suis toujours des cours de beaux-arts, manière de me perfectionner davantage. »
Elle ne se limite pas à la couture conventionnelle, mais se focalise plutôt sur le modernisme qui caractérise également ce métier.
« Je me suis attelé à perfectionner ma passion pour le dessin, il y a de cela 10 ans. Peu à peu, j’ai décidé de mettre le pinceau au profit de la couture, et partant, au service de la haute couture. », tient-elle à préciser.
Rayene Deffous, avec une dizaine de commandes par mois, a quand même réussi à attirer une clientèle, pas seulement de Skikda mais aussi de Souk Ahras, Sétif et Constantine et, même, Relizane, wilaya à l’Ouest du pays.
Pour cela, elle dispose d’une page Facebook : Cuuturière Rày Yán skikda, et d’un compte Instagram ; Couturiere_rayan_21.
Rayene Deffous, est une étudiante en Master informatique, réseaux et système distribués à l’Université 20 aout 1955 Skikda.
Le clavier et les pixels ne l’ont pas incité à jeter les pinceaux et les ciseaux pour mettre à exécution sa passion. En revanche, le cursus universitaire, elle compte également l’achever et y réussir, volonté parentale exige. « Mes parents m’encouragent aussi bien dans mon métier que dans la détention de mon diplôme universitaire. »
Rayene Deffous, à plusieurs cordes à son arc. C’est une évidence. Le prochain domaine qu’elle veut investir : cosplay, mot-valise définit comme ‘’costume’’ et ‘’jouer’’, ou elle aura à confectionner les habits vestimentaires dédiés à ce loisir. « Je veux aussi industrialiser ce que je fais en haute couture. », conclut Rayene Deffous.
