La Fondation algérienne des jeunes entrepreneurs (AYEF : Algerian Youth Entrepreneurs Foundation) est née.
Son premier ‘’coup de semonce’’ a été entendue, ce samedi 6 août à l’hôtel Hani (Alger), ou le président de l’AYEF, Anis Ben Tayeb, a procédé à l’installation du Bureau exécutif et des Commissions chargées chacune de missions diverses, notamment, les Relations publiques, les Finances, la Communication, etc.
L’AYEF est composé de 12 wilayas et d’un pays africain, le Burundi. Les modalités d’adhésion et la tranche d’âge des personnes éligibles à y faire partie de la Fondation, seront déterminés ultérieurement, probablement lors de la rentrée sociale.
Jeunes porteurs de projets, startups, projets innovants, propriétaires de PME, auront désormais leur porte-parole, via l’AYEF, qui se veut comme une force de proposition, dans la posture d’intermédiaire entre ces catégories professionnelles et sociales et les pouvoirs publics.
L’AYEF, se positionne également, un peu en marge des organisations patronales qui, elles, évoluent dans une sphère économique et syndicale, représentant des entreprises d’autres gabarits et porteurs d’objectifs de plus d’envergure.
La création de l’AYEF est aussi motivée, selon ses fondateurs, par un fait : les organisations des jeunes ne défendent pas comme il faut les jeunes entrepreneurs, relayant peu leurs revendications légales et légitimes. AYEF veut, ainsi, combler ce manque pénalisant au profit de la jeunesse algérienne.
Rassembler le plus grand nombre de jeunes entrepreneurs sur l’ensemble du territoire national, mais aussi, fédérer les jeunes de diaspora autour des objectifs que s’est assignés l’AYEF. Tels sont les autres missions que veut atteindre cette Fondation.